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- PSG-Bayern (2-0)
Les notes du PSG face au Bayern
Dans un match à couteau tiré et longtemps indécis, le PSG a une nouvelle fois démontré à quel point il était insubmersible en 2025 (même en terminant le combat à neuf contre onze). Merci à Gianluigi, João, Achraf et Khvicha pour la bagarre. Et aussi à Désiré ou Ousmane pour les coups de couteau dans le dos du Bayern Munich.


Gianluigi Donnarumma
On ne gagne pas une Coupe du monde des clubs sans un (très) grand gardien. CQFD.
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Achraf Hakimi
L’homme a déjà perdu son combat contre la machine. Sauf s’il lui fait tirer les coup francs.
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Marquinhos
Elles étaient bien sympas, ces petites vacances aux States. Mais c’est toujours aussi difficile de retourner au turbin.
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Willian Pacho
Ça faisait bien longtemps qu’il n’avait plus trouvé d’attaquant à mâcher pendant 90 minutes. Harry Kane, un chewing-gum visiblement à son goût. Leon Goretzka était en revanche nettement moins digeste.
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Nuno Mendes
Visiblement pressé de rentrer à la maison tester l’eau de la Seine, il devra encore patienter.
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João Neves
Écoper, gratter des ballons, couper des lignes de passes, s’accrocher comme une tique dans le moindre duel… En voilà un qui adore quand il faut se salir les mains.
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Fabián Ruiz
Étouffé, pris de vitesse, souvent à contre-temps et même pas en réussite dans cette frappe qu’il affectionne tant depuis l’entrée de la surface… En voilà un qui déteste quand il faut se salir les mains. Remplacé par Warren Zaïre-Emery (80e), solide face à l’incendie.
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Bradley Barcola
Il n’y a plus qu’à espérer que Didier Deschamps était bien devant son petit écran pour apprécier son double contact délicieux sur Kingsley Coman. Remplacé par Ousmane Dembélé (70e), qui n’avait besoin que de ces 20 minutes pour faire un pas de plus vers le Ballon d’or.
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Désiré Doué
80 minutes à penser qu’il jouait contre le Bayern Munich, avant que quelqu’un n’ait l’idée de génie de lui faire croire que le club avait été renommé « Inter de Munich ». Remplacé par Lucas Hernandez (80e), pour un petit coup de pouce à ses anciens potes.
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Khvicha Kvaratskhelia
Si la Troisième Guerre mondiale devait se déclarer demain, le PSG partirait là encore avantagé avec son n°7 au sein de son armée. Remplacé par Lucas Beraldo (83e), venu défendre la patrie.
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Par Tom Binet